11 millions de Français pratiquent des sports nautiques chaque année et, parmi eux, 4 millions sont des plaisanciers réguliers. Le nombre de ces passionnés ne cesse d’augmenter. Or, seulement 2,5 millions d’entre eux ont un titre de conduite.
Compte tenu de la difficulté d’accéder régulièrement aux sports nautiques, Ocean Skills a mis au point une plateforme d’apprentissage des connaissances liées aux sports nautiques.
Partenariats stratégiques
Ocean Skills a déjà noué un certain nombre de partenariats qui lui permettent d’accélérer son développement. Ainsi, plusieurs partenariats commerciaux permettent à des marques de matériel destiné aux pratiques nautiques de prescrire les formations Ocean Skills à leurs clients. C’est le cas par exemple de la marque Tribord, du groupe Décathlon, ou de la start-up Click&Boat qui propose la location de bateaux en libre-service, sur le modèle des Vélib.
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La start-up a également noué des partenariats pour l’apprentissage des sports nautiques : de telle sorte que les services numériques qu’elle propose puissent être complétés d’une formation pratique nécessaire : avec les écoles de la Fédération Française de Voile ou Bretagne Navigation également.
Enfin, Ocean Skills a noué un partenariat actionnarial avec le groupe Mediawen International qui va accompagner l’entreprise dans sa stratégie d’internationalisation. En effet, Ocean Skills souhaite traduire sa plateforme et sous-titrer ses vidéos en anglais, et ce dès 2021. Car le marché anglophone est 10 fois plus gros que le marché francophone d’après les études de marché réalisées par l’entreprise.
Rentable dès 2022
Dans le contexte actuel, l’entreprise prévoit d’excellentes perspectives de croissance qui lui permettraient d’être rentable dès 2022 avec un résultat net de plus de 300 000 euros cette année-là. À noter que la start-up envisage de doubler son résultat net chaque année jusqu’en 2024, année où il culminerait à 1,1 million d’euros.
Ocean Skills est en phase de levée de fonds. La jeune pousse a ouvert son capital à hauteur de 450 000 euros en actions, via la plateforme Sowefund.
Ce montant correspond à 30% du capital de la start-up prometteuse.
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